
Le Code Pink est un mouvement de femmes américaines militant, d’abord et avant tout, contre la guerre en Irak. Leurs noms apparaissent sur une liste de noms d’individus criminels du FBI à côté de ceux de terroristes, de meurtriers et de trafiquants de drogue même si être arrêté lors d'une manifestation constitue un crime mineur aux États-Unis.
Mais quels sont donc les crimes commis et reprochés à ces femmes en rose? D’abord, de manifester et de crier leur opposition devant la Maison Blanche. Puis, bien sûr, d’exiger qu’on leur « dise la vérité » à propos de toutes les décisions concernant cette guerre qui n’en finit plus. Bref, des pacifistes tonitruantes coupables de crimes d'interruption de discours menteur, écrivait, ce matin, Gil Courtemanche, dans Le Devoir.
Or, pourquoi ont-elle été refoulées cette semaine à la frontière canadienne ? Serait-ce qu’elles voulaient nous prévenir en dénonçant les dangers qui nous guettent, avec le gouvernement canadien actuel qui cherche par tous les moyens à américaniser le pays à la manière Bush?
Faut dire, que les sujets ne manquent pas à notre Premier ministre, Stephen Harper, ministre de tous les ministères qui contrôle tout, de manière à imposer ses politiques en les calquant sur celles du gouvernement américain. On pense ici à la sécurité nationale, à la guerre en Afghanistan, aux ressources naturelles avec le pétrole, et tout dernièrement, à la criminalité avec la drogue, etc.
Cela dit, pour en revenir à nos femmes en rose, jusqu’à ce jour, il n’y a que la députée néo-démocrate de Trinity-Spadea, en Ontario, Olivia Chow, qui s'est indignée de leur refoulement à la frontière.
Dans une lettre envoyée au consulat général du Canada à Buffalo, Mme Chow accuse les autorités canadiennes d'appliquer des mesures décidées par le FBI et d'autres organismes américains. Elle ajoute que protester pacifiquement ne constitue pas une activité criminelle au Canada, quoi qu'en pensent les autorités américaines.
Quant au Bloc, lui ? N’y voit-il pas là, une belle occasion d’exprimer sa volonté de faire valoir, que le gouvernement Harper est prêt à tout pour empêcher les électeurs du Québec, entre autres, de connaître ses véritables politiques de droite, complètement à l’opposé de nos valeurs.
Allez ! Tiguedup! les belles Américaines !
Mais quels sont donc les crimes commis et reprochés à ces femmes en rose? D’abord, de manifester et de crier leur opposition devant la Maison Blanche. Puis, bien sûr, d’exiger qu’on leur « dise la vérité » à propos de toutes les décisions concernant cette guerre qui n’en finit plus. Bref, des pacifistes tonitruantes coupables de crimes d'interruption de discours menteur, écrivait, ce matin, Gil Courtemanche, dans Le Devoir.
Or, pourquoi ont-elle été refoulées cette semaine à la frontière canadienne ? Serait-ce qu’elles voulaient nous prévenir en dénonçant les dangers qui nous guettent, avec le gouvernement canadien actuel qui cherche par tous les moyens à américaniser le pays à la manière Bush?
Faut dire, que les sujets ne manquent pas à notre Premier ministre, Stephen Harper, ministre de tous les ministères qui contrôle tout, de manière à imposer ses politiques en les calquant sur celles du gouvernement américain. On pense ici à la sécurité nationale, à la guerre en Afghanistan, aux ressources naturelles avec le pétrole, et tout dernièrement, à la criminalité avec la drogue, etc.
Cela dit, pour en revenir à nos femmes en rose, jusqu’à ce jour, il n’y a que la députée néo-démocrate de Trinity-Spadea, en Ontario, Olivia Chow, qui s'est indignée de leur refoulement à la frontière.
Dans une lettre envoyée au consulat général du Canada à Buffalo, Mme Chow accuse les autorités canadiennes d'appliquer des mesures décidées par le FBI et d'autres organismes américains. Elle ajoute que protester pacifiquement ne constitue pas une activité criminelle au Canada, quoi qu'en pensent les autorités américaines.
Quant au Bloc, lui ? N’y voit-il pas là, une belle occasion d’exprimer sa volonté de faire valoir, que le gouvernement Harper est prêt à tout pour empêcher les électeurs du Québec, entre autres, de connaître ses véritables politiques de droite, complètement à l’opposé de nos valeurs.
Allez ! Tiguedup! les belles Américaines !
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