Martina Navratilova a demandé à deux universités de l'Oregon de cesser leurs expérimentations sur des moutons homosexuels. Dit comme cela, cela pourrait prêter à sourire. Et nous faire penser que l'ancienne championne de tennis, qui nous a déjà habitués à certaines prises de position pas toujours très compréhensibles, est définitivement devenue la Brigitte Bardot des lesbiennes. (Têtu)
Mais là où cela devient moins drôle, c'est lorsque l'on réalise que des chercheurs de l'Université de l'État et de l'Université de la Santé et des Sciences de l'Oregon seraient actuellement en train d'ouvrir les cerveaux d'ovidés dont ils auraient constaté qu'ils étaient attirés par d'autres moutons plutôt que par des brebis afin de trouver l'origine de leurs préférences sexuelles. Et de les modifier.
Car, à n’en pas douter, le but des chercheurs serait ensuite d'extrapoler les résultats des expérimentations sur les humains. Des fois que l'on puisse guérir l'homosexualité... Sait-on jamais. En plus de nous soulever le cœur, ces expériences nous rappellent celles qu'ont pratiquées les nazis sur des humains durant la Seconde Guerre mondiale.
«Comment se peut-il qu'en 2006, une université renommée puisse conduire des expériences aussi cruelles et aussi homophobes?, s'interroge Navratilova dans une lettre adressée aux présidents des deux universités. Je vous prie respectueusement de bien vouloir faire cesser ces recherches révoltantes et peu judicieuses. Vous trouverez sûrement un moyen de réaffecter les millions de dollars d'impôts actuellement engloutis dans ces expériences vers des projets un peu plus intéressants, comme par exemple le financement d'un centre gay et lesbien d'encouragement au dialogue et à la tolérance envers les personnes de toutes préférences sexuelles.»
Oui, mon amie, on croyait avoir tout vu, tout entendu. Mais, non! On connaissait la tauromachie; désormais on connait l’homomachie. Alors, une bonne main d’applaudissements pour encourager la grande Martina dans ce nouveau combat serait bien. Mais la mise en marche d’une pétition à la grandeur de la planète contre ces expériences contre nature serait encore mieux, tu ne trouves pas?
À toi pour toujours,
May West
Mais là où cela devient moins drôle, c'est lorsque l'on réalise que des chercheurs de l'Université de l'État et de l'Université de la Santé et des Sciences de l'Oregon seraient actuellement en train d'ouvrir les cerveaux d'ovidés dont ils auraient constaté qu'ils étaient attirés par d'autres moutons plutôt que par des brebis afin de trouver l'origine de leurs préférences sexuelles. Et de les modifier.
Car, à n’en pas douter, le but des chercheurs serait ensuite d'extrapoler les résultats des expérimentations sur les humains. Des fois que l'on puisse guérir l'homosexualité... Sait-on jamais. En plus de nous soulever le cœur, ces expériences nous rappellent celles qu'ont pratiquées les nazis sur des humains durant la Seconde Guerre mondiale.
«Comment se peut-il qu'en 2006, une université renommée puisse conduire des expériences aussi cruelles et aussi homophobes?, s'interroge Navratilova dans une lettre adressée aux présidents des deux universités. Je vous prie respectueusement de bien vouloir faire cesser ces recherches révoltantes et peu judicieuses. Vous trouverez sûrement un moyen de réaffecter les millions de dollars d'impôts actuellement engloutis dans ces expériences vers des projets un peu plus intéressants, comme par exemple le financement d'un centre gay et lesbien d'encouragement au dialogue et à la tolérance envers les personnes de toutes préférences sexuelles.»
Oui, mon amie, on croyait avoir tout vu, tout entendu. Mais, non! On connaissait la tauromachie; désormais on connait l’homomachie. Alors, une bonne main d’applaudissements pour encourager la grande Martina dans ce nouveau combat serait bien. Mais la mise en marche d’une pétition à la grandeur de la planète contre ces expériences contre nature serait encore mieux, tu ne trouves pas?
À toi pour toujours,
May West
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