Qu’il soit beau ou qu’il soit grand, le risque que nous courons de choisir le Québec solidaire (QS) en tant que parti souverainiste de rechange aux prochaines élections provinciales, mérite qu’on s’y arrête.
Je ne veux pas passer pour une dépourvue d’idéal ou pire, un éteignoir de rêves et d’espoir, mais la déprime est à ce point tangible en ce moment dans la population en général, au Québec, que le parti de Françoise David ressemble presque à un refuge pour rescapés de « l’apocalypse » qui n’a jamais eu lieu.
Je pense ici aux femmes, aux mères monoparentales, aux démunis, aux sans-abri, aux sans-logement, aux verts, aux verts-de-gris (les aînés), aux gais, aux moins-gais, aux immigrants, aux allophones, aux timorés, aux pognés, sans oublier évidemment ceux qui travaillent et aux autres qui les regardent faire. Nombreux sont donc tous les rescapés déçus du PQ et de leurs éternelles tergiversations, mais, aussi et surtout de leurs politiques souvent à contre courant de leur idéologie première.
Alors, j’ignore où tout cela va nous mener, mais, mettons les choses au clair. Combien de temps allons-nous encore gagner sachant que cela fait déjà 40 ans que le Parti Québécois s’use les dents à vouloir faire l’indépendance (à notre place évidemment …!).
Car si j’en crois le sentiment qui prévaut chez bien des gens autour de moi, le train de la souveraineté serait passé depuis un bon moment. Pour eux, les temps ont changé, or, autre époque, autre réalité. Comme si la résignation s’était fait un nid confortable quelque part entre le statu quo et l’ambivalence.
Le choix est de taille, mon amie. Il nous tenaille aussi. Comme nous le rappelle Françoise David, paraît-il qu’il serait le même que celui pris par les électeurs de Gouin, qui les premiers, auraient voter pour le PQ, en 1970. Allons-y voir!
Mais des fois, qu’elle n’aurait pas tort, madame David…! Là, où les hommes ont échoué …
À toi pour toujours,
May West
Je ne veux pas passer pour une dépourvue d’idéal ou pire, un éteignoir de rêves et d’espoir, mais la déprime est à ce point tangible en ce moment dans la population en général, au Québec, que le parti de Françoise David ressemble presque à un refuge pour rescapés de « l’apocalypse » qui n’a jamais eu lieu.
Je pense ici aux femmes, aux mères monoparentales, aux démunis, aux sans-abri, aux sans-logement, aux verts, aux verts-de-gris (les aînés), aux gais, aux moins-gais, aux immigrants, aux allophones, aux timorés, aux pognés, sans oublier évidemment ceux qui travaillent et aux autres qui les regardent faire. Nombreux sont donc tous les rescapés déçus du PQ et de leurs éternelles tergiversations, mais, aussi et surtout de leurs politiques souvent à contre courant de leur idéologie première.
Alors, j’ignore où tout cela va nous mener, mais, mettons les choses au clair. Combien de temps allons-nous encore gagner sachant que cela fait déjà 40 ans que le Parti Québécois s’use les dents à vouloir faire l’indépendance (à notre place évidemment …!).
Car si j’en crois le sentiment qui prévaut chez bien des gens autour de moi, le train de la souveraineté serait passé depuis un bon moment. Pour eux, les temps ont changé, or, autre époque, autre réalité. Comme si la résignation s’était fait un nid confortable quelque part entre le statu quo et l’ambivalence.
Le choix est de taille, mon amie. Il nous tenaille aussi. Comme nous le rappelle Françoise David, paraît-il qu’il serait le même que celui pris par les électeurs de Gouin, qui les premiers, auraient voter pour le PQ, en 1970. Allons-y voir!
Mais des fois, qu’elle n’aurait pas tort, madame David…! Là, où les hommes ont échoué …
À toi pour toujours,
May West
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