On savait bien depuis longtemps, qu’en Chine, on se débarrassait des bébés-filles dès leur naissance. Comme on savait aussi que ce génocide entraînerait des conséquences inimaginables pour l’avenir de l’humanité.
Un documentaire « La malédiction de naître fille » sur Arte, cette semaine, révélait que l’absence de femmes en Asie aura, à terme, des conséquences politiques et sociales pour le monde entier, car c’est 100 millions de petites filles qu’il manquerait dans le monde aujourd’hui. Le déséquilibre qui se développe depuis vingt ans déjà annonce un bouleversement démographique sans précédent.
Ai-je rêvé ça, mon amie?
Je me rappelle, à l’époque de la traite des blanches, ici même, à Montréal, on s’inventait, certains soirs d’Halloween, des histoires d’horreur, question de s’amuser à se faire peur entre filles.
L’une de ces histoires racontait, entres autres, qu’après avoir tué toutes les petites filles dans leur pays, les Chinois n’auraient plus le choix. Tôt ou tard, ils déferleraient partout dans le monde, donc débarqueraient dans notre pays, dans notre province, dans notre ville à la recherche de femmes. On appelait ça … le péril jaune.
Un documentaire « La malédiction de naître fille » sur Arte, cette semaine, révélait que l’absence de femmes en Asie aura, à terme, des conséquences politiques et sociales pour le monde entier, car c’est 100 millions de petites filles qu’il manquerait dans le monde aujourd’hui. Le déséquilibre qui se développe depuis vingt ans déjà annonce un bouleversement démographique sans précédent.
Ai-je rêvé ça, mon amie?
Je me rappelle, à l’époque de la traite des blanches, ici même, à Montréal, on s’inventait, certains soirs d’Halloween, des histoires d’horreur, question de s’amuser à se faire peur entre filles.
L’une de ces histoires racontait, entres autres, qu’après avoir tué toutes les petites filles dans leur pays, les Chinois n’auraient plus le choix. Tôt ou tard, ils déferleraient partout dans le monde, donc débarqueraient dans notre pays, dans notre province, dans notre ville à la recherche de femmes. On appelait ça … le péril jaune.
À toi pour toujours,
May West
P.S. Si tu apprends que ce documentaire sera présenté à l’une de nos chaînes de télévision, fais-moi signe!
Aucun commentaire:
Publier un commentaire