Hier, j’ai eu mal à la gorge. Cela a commencé par une violente irritation dans l'oesophage, puis tout a dégénéré en une petite toux sèche qui semble avoir atteint les bronches. Rien de bien sérieux, mais la pharmacienne m’a prescrit un expectorant puis m’a recommandé de boire beaucoup d’eau, sans oublier les Tylenol ...
Sur les entrefaites, mon amie Jd'A de Sorel, adepte inconditionelle des préceptes des voix universelles, m’écrivait hier : «Mal de gorge : qu'aurais-tu à dire que tu n'oses dire? Qu'est-ce qui est si difficile à dire qui soit bloqué au niveau de ta gorge? Qu'est-ce qui t'irrite ou a irrité ta gorge? Écris ce que tu aurais à dire et que tu n'oses pas dire, ton mal de gorge partirait comme par enchantement. On ne perd rien à l'essayer. »
Écrire! Écrire! Écrire! ...
Cela m’a ramenée sur terre. J’ai d'abord consulté le livre de Marguerite De Surany, «Pour une médecine de l’âme». Parce qu’au fond, quand le corps tombe malade, c’est souvent l‘âme qui est malade.
Donc, à la page 123, au mot : Gorge : «Cette histoire m’est restée en travers de la gorge», dit-on quand une parole ou un événement sont difficiles à avaler moralement ou affectivement car ils ont blessé la sensibilité à vif. En plus, tous les symptômes sont là : l’anxiété forme une chaîne qui serre la gorge, l’empêche d’avaler. Le feu peut y prendre ... Etc.
Qu’avais-je donc à dire et que je n’osais pas dire? Voilà la question. Peut-être ai-je trouvé la réponse ou à tout le moins, l’ai-je résolue, cette dernière fin de semaine. Ah! une vieille histoire, (inutile de vous la raconter, ce serait long et ennuyeux pour rien), mal interprétée et mal digérée surtout qui n’impliquait que moi-même, faut-il croire, puisque c’est moi qui ai eu mal à la gorge.
Chose certaine, avoir la sensibilité à vif peut parfois conduire l’âme sur des voies contraires à la réalité. Et prendre pour des lanternes, la fraîcheur des petits matins d'automne ... Allez, l'oiseau frileux, soigne ton rhume et prends ton mal en patience!
Sur les entrefaites, mon amie Jd'A de Sorel, adepte inconditionelle des préceptes des voix universelles, m’écrivait hier : «Mal de gorge : qu'aurais-tu à dire que tu n'oses dire? Qu'est-ce qui est si difficile à dire qui soit bloqué au niveau de ta gorge? Qu'est-ce qui t'irrite ou a irrité ta gorge? Écris ce que tu aurais à dire et que tu n'oses pas dire, ton mal de gorge partirait comme par enchantement. On ne perd rien à l'essayer. »
Écrire! Écrire! Écrire! ...
Cela m’a ramenée sur terre. J’ai d'abord consulté le livre de Marguerite De Surany, «Pour une médecine de l’âme». Parce qu’au fond, quand le corps tombe malade, c’est souvent l‘âme qui est malade.
Donc, à la page 123, au mot : Gorge : «Cette histoire m’est restée en travers de la gorge», dit-on quand une parole ou un événement sont difficiles à avaler moralement ou affectivement car ils ont blessé la sensibilité à vif. En plus, tous les symptômes sont là : l’anxiété forme une chaîne qui serre la gorge, l’empêche d’avaler. Le feu peut y prendre ... Etc.
Qu’avais-je donc à dire et que je n’osais pas dire? Voilà la question. Peut-être ai-je trouvé la réponse ou à tout le moins, l’ai-je résolue, cette dernière fin de semaine. Ah! une vieille histoire, (inutile de vous la raconter, ce serait long et ennuyeux pour rien), mal interprétée et mal digérée surtout qui n’impliquait que moi-même, faut-il croire, puisque c’est moi qui ai eu mal à la gorge.
Chose certaine, avoir la sensibilité à vif peut parfois conduire l’âme sur des voies contraires à la réalité. Et prendre pour des lanternes, la fraîcheur des petits matins d'automne ... Allez, l'oiseau frileux, soigne ton rhume et prends ton mal en patience!
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