Les funérailles nationales de Gilles Carles, empreintes d'une grande émotion, ont permis de rappeler toute la complexité d'un grand cinéaste et d'un homme de grande valeur. Autant comme père et ami. Tous les hommages qui lui ont été rendus le prouvent.
Même celui du premier ministre, Jean Charest, qui aurait sans doute préféré être ailleurs, ce matin. Son hommage distant et froid (enfin, c'est mon point de vue) est d'ailleurs le seul à avoir fait tomber un silence de mort sur l'assistance ... (et cela n'est pas un vilain jeu de mots), alors que tous les autres ont été repectueusement applaudis.
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