Le 25 novembre dernier, Lora et moi,
célébrions nos «noces de faïence».
Pour marquer cet heureux anniversaire,
nos deux vaillantes amies,
Brita et madame É,
ont composé pour l'occasion,
sur l'air de la chanson:
«Il venait d'avoir 18 ans» de Dalida,
la magnifique chanson suivante:
Elles n’avaient pas leur soixante ans
Deux âmes solitaires errantes
À la recherche
Sur l’Internet évidemment
Une PE-tite annonce en passant
Quelle découverte !
Elles mirent de l’ordre à leurs cheveux
Très très peu de noir sur leurs yeux
Ça les fait rire !
Elles n’étaient pas désespérées
Mais elles souhaitaient bien partager
Un ciel superbe
D’un texte fort bien détaillé
D *** avait tout dévoilé
Comme un poème
Alors que très improvisé
L *** avait presque pitché
Trois lignes à peine !
Elles mirent de l’ordre à leurs cheveux
Puis se décoiffèrent un petit peu
Pour se connaître
Quand elles s’sont enfin rencontrées
Elles étaient prêtes à traverser
Le millénaire !
Depuis maintenant près de neuf ans
Elles tiennent la forme tout en golfant
Des semaines entières
Et le soleil en faiblissant
Leur laisse prévoir en frémissant
Les nuits d’automne
Elles mettent de l’ordre à leurs cheveux
Et se pomponnent encore un peu
Par coquettude
Elles se disent ça fait pas si mal
Malgré les froideurs hivernales
Sans voir un tertre !
Elles se disent alors candidement
On se décoiffera dans mille ans ...
Elles n’avaient pas leur soixante ans
Deux âmes solitaires errantes
À la recherche
Sur l’Internet évidemment
Une PE-tite annonce en passant
Quelle découverte !
Elles mirent de l’ordre à leurs cheveux
Très très peu de noir sur leurs yeux
Ça les fait rire !
Elles n’étaient pas désespérées
Mais elles souhaitaient bien partager
Un ciel superbe
D’un texte fort bien détaillé
D *** avait tout dévoilé
Comme un poème
Alors que très improvisé
L *** avait presque pitché
Trois lignes à peine !
Elles mirent de l’ordre à leurs cheveux
Puis se décoiffèrent un petit peu
Pour se connaître
Quand elles s’sont enfin rencontrées
Elles étaient prêtes à traverser
Le millénaire !
Depuis maintenant près de neuf ans
Elles tiennent la forme tout en golfant
Des semaines entières
Et le soleil en faiblissant
Leur laisse prévoir en frémissant
Les nuits d’automne
Elles mettent de l’ordre à leurs cheveux
Et se pomponnent encore un peu
Par coquettude
Elles se disent ça fait pas si mal
Malgré les froideurs hivernales
Sans voir un tertre !
Elles se disent alors candidement
On se décoiffera dans mille ans ...
Quel talent, mes ami(e)s!
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