Déjà? Eh oui! Peu après midi, alors que je m’apprêtais à rendre visite à maman, quelle ne fut pas ma surprise de voir ma voiture recouverte d’une épaisse couche de glace. À ma connaissance, je n’avais pas souvent vu une couche de glace aussi épaisse. C’est vrai que je n’ai pas connu celle du Grand Verglas, en 1998, mais …! Cela dit, je n’aurais jamais cru qu’il avait plu autant durant la nuit dernière.
J’étais en pleine opération de déglaçage quand soudain j’aperçus ma voisine de stationnement qui s’amenait vers sa voiture. En s’approchant de moi, voilà qu’elle me dit gentiment : «Dire que, ça ne fait que commencer …! ».
J’étais tellement surprise de l’entendre me parler, que j’ai même osé lui dire que cela devait n’avoir rien à voir avec le Grand Verglas. Évidemment! De fait, elle a semblé tout à fait d’accord avec moi.
J’étais ravie. Depuis le temps que j’habite là, cette femme a toujours l’habitude de baisser les yeux et, elle me salue rarement, chaque fois qu’elle me croise. D'ailleurs, je me suis souvent demandée si j'étais une ... Chose invisible.
Mais, les petites histoires (d’hiver-qui-ne-fait-que-commencer), je vous le rappelle, ne se rassemblent pas. Loin de là! Pendant mon absence, cet après-midi, j’ai reçu ce courriel de ma petite sœur.
« Sur ma rue, on ne peut presque plus circuler. Je viens tout juste de me «pogner» avec mon arabe de propriétaire. Cet homme croit que tout lui appartient! D’abord, il se stationne dans notre entrée quand Joe est au travail, alors que lui, il travaille de nuit et arrive quand Joe s’en va. Je lui ai donc dit que jamais je n'oserais me stationner dans son entrée, à lui. Ce serait lui manquer de respect.
D’autant plus que le « tempo», nous le payons $300.00 par année! Et que, bien sûr, je m'en sers régulièrement. Surtout, quand il n'y a pas de place dans la rue, comme aujourd'hui. Il m’a dit aussi que la maison lui appartenait (ça, on le savait ...), etc, et j’en passe. Là-dessus, je lui ai rappelé que le stationnement faisait partie de notre bail. Enfin, il m’a dit qu’il allait voir à çà …
Quand je pense qu’à cause d’une maudite chicane de stationnement, je risque d’être obligée de déménager l'été prochain! Çà ne me tente pas vraiment, tu comprends? Car, comme tu sais, c'est un des pires emmerdements. Et en plus d'être stressant, ça coûte cher! En tout cas, disons, qu’aujourd'hui, je me sens très, très raciste. Lolo».
Comme le dit si bien, mon aimable voisine : «Dire que, ça ne fait que commencer …! ».
Photo: Le «tempo» à Joe, l'hiver dernier, avant qu'il ne cède sous le poids de la neige.
J’étais en pleine opération de déglaçage quand soudain j’aperçus ma voisine de stationnement qui s’amenait vers sa voiture. En s’approchant de moi, voilà qu’elle me dit gentiment : «Dire que, ça ne fait que commencer …! ».
J’étais tellement surprise de l’entendre me parler, que j’ai même osé lui dire que cela devait n’avoir rien à voir avec le Grand Verglas. Évidemment! De fait, elle a semblé tout à fait d’accord avec moi.
J’étais ravie. Depuis le temps que j’habite là, cette femme a toujours l’habitude de baisser les yeux et, elle me salue rarement, chaque fois qu’elle me croise. D'ailleurs, je me suis souvent demandée si j'étais une ... Chose invisible.
Mais, les petites histoires (d’hiver-qui-ne-fait-que-commencer), je vous le rappelle, ne se rassemblent pas. Loin de là! Pendant mon absence, cet après-midi, j’ai reçu ce courriel de ma petite sœur.
« Sur ma rue, on ne peut presque plus circuler. Je viens tout juste de me «pogner» avec mon arabe de propriétaire. Cet homme croit que tout lui appartient! D’abord, il se stationne dans notre entrée quand Joe est au travail, alors que lui, il travaille de nuit et arrive quand Joe s’en va. Je lui ai donc dit que jamais je n'oserais me stationner dans son entrée, à lui. Ce serait lui manquer de respect.
D’autant plus que le « tempo», nous le payons $300.00 par année! Et que, bien sûr, je m'en sers régulièrement. Surtout, quand il n'y a pas de place dans la rue, comme aujourd'hui. Il m’a dit aussi que la maison lui appartenait (ça, on le savait ...), etc, et j’en passe. Là-dessus, je lui ai rappelé que le stationnement faisait partie de notre bail. Enfin, il m’a dit qu’il allait voir à çà …
Quand je pense qu’à cause d’une maudite chicane de stationnement, je risque d’être obligée de déménager l'été prochain! Çà ne me tente pas vraiment, tu comprends? Car, comme tu sais, c'est un des pires emmerdements. Et en plus d'être stressant, ça coûte cher! En tout cas, disons, qu’aujourd'hui, je me sens très, très raciste. Lolo».
Comme le dit si bien, mon aimable voisine : «Dire que, ça ne fait que commencer …! ».
Photo: Le «tempo» à Joe, l'hiver dernier, avant qu'il ne cède sous le poids de la neige.
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