En Espagne, c’est une décision qui fera date pour les épouses lesbiennes. En effet, un juge espagnol a décidé qu'un bébé né via insémination artificielle dans un couple de deux femmes pouvait être immédiatement enregistré à l'état civil comme ayant deux mères, sa mère biologique et son épouse.
Mais les procureurs de la Cour suprême de Madrid qui se sont emparés de l'affaire mardi, comptent faire appel. Ces messieurs-dames estiment qu'en vertu de la loi espagnole, la partenaire non-parent d'un couple de lesbiennes doit d'abord faire une démarche d'adoption, avant d'être officiellement considérée comme la deuxième mère du bébé.
Ce qui n'est pas le cas pour les couples hétérosexuels, au sein duquel, après une naissance via insémination artificielle, le père n'a qu'à reconnaître l'enfant pour qu'il soit considéré comme le sien.
Antonia Menendez, 40 ans, et Maria Angeles Zufilla, 30 ans, se sont mariées l'année dernière en vertu de la nouvelle loi espagnole sur le mariage homosexuel. Il y a quelques jours, elles avaient voulu déclarer leur fille de douze jours, la petite Nerea, née par fécondation in vitro.
Or, les Belles de Cadix ont beau avoir des yeux de velours … elles se sont tout de même fait dire qu'Antonia Menendez devait d'abord faire une procédure d'adoption, ce qui peut prendre jusqu'à quatre mois. Ce que la juge Maria Jesus Buitrago d'Algésiras a contesté. Mais si elle ne revient pas sur sa décision, le parquet de Cadix devrait faire appel pour l'y contraindre, selon un des procureurs de la Cour suprême.
Pour les associations homosexuelles, la loi sur la procréation assistée doit être modifiée pour s'accorder avec la loi sur le mariage homosexuel, qui ne fait pas de différence entre les couples de même sexe et couples hétérosexuels.
Désolée, mon amie, mais j’ignore complètement de quoi il en retourne ici, au Québec et au Canada, à ce sujet-là actuellement.
À toi pour toujours,
May West
Mais les procureurs de la Cour suprême de Madrid qui se sont emparés de l'affaire mardi, comptent faire appel. Ces messieurs-dames estiment qu'en vertu de la loi espagnole, la partenaire non-parent d'un couple de lesbiennes doit d'abord faire une démarche d'adoption, avant d'être officiellement considérée comme la deuxième mère du bébé.
Ce qui n'est pas le cas pour les couples hétérosexuels, au sein duquel, après une naissance via insémination artificielle, le père n'a qu'à reconnaître l'enfant pour qu'il soit considéré comme le sien.
Antonia Menendez, 40 ans, et Maria Angeles Zufilla, 30 ans, se sont mariées l'année dernière en vertu de la nouvelle loi espagnole sur le mariage homosexuel. Il y a quelques jours, elles avaient voulu déclarer leur fille de douze jours, la petite Nerea, née par fécondation in vitro.
Or, les Belles de Cadix ont beau avoir des yeux de velours … elles se sont tout de même fait dire qu'Antonia Menendez devait d'abord faire une procédure d'adoption, ce qui peut prendre jusqu'à quatre mois. Ce que la juge Maria Jesus Buitrago d'Algésiras a contesté. Mais si elle ne revient pas sur sa décision, le parquet de Cadix devrait faire appel pour l'y contraindre, selon un des procureurs de la Cour suprême.
Pour les associations homosexuelles, la loi sur la procréation assistée doit être modifiée pour s'accorder avec la loi sur le mariage homosexuel, qui ne fait pas de différence entre les couples de même sexe et couples hétérosexuels.
Désolée, mon amie, mais j’ignore complètement de quoi il en retourne ici, au Québec et au Canada, à ce sujet-là actuellement.
À toi pour toujours,
May West
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