Eh oui ! Quelle déception, pour ces pauvres Français qui débarquent au Québec, après s’être fait vanter les avantages de vivre dans la plusss belle province du Canada ! Mais là, faut-il prendre acte de ce grand défoulement dans des sites et des blogs, créés à cette intention, pour réaliser à quel point leurs rêves d’aventure et de conquête se sont brisés lors de leur séjour en terre québécoise.
Amèrement déçus, les Français seraient-ils donc trop blasés et trop raffinés de nature pour s’adapter à notre mode de vie frustre nord-américain ? Et bien sûr, trop articulés pour s’habituer à notre langue profondément enracinée dans le terroir, pour ne pas dire comme eux, étant ni plus ni moins qu'une sorte de dialecte (créole … ?) d’arriérés et de colonisés ?
N’oublions pas, que la France, sans jamais avoir été un véritable empire, a tout de même un lourd passé de colonisateur. Pour s’en convaincre (et nous convaincre aussi), « Le Québec c’est peut être bien pour les pays sous développés, mais pas pour les Européens. », disent-ils tout haut, entre eux et pour eux. Comme si nous étions (y compris nos Néo-Québécois de souche ...!) un peuple indigne d’accueillir des gens aussi fiers de leur supériorité intellectuelle, culturelle et historique.
Toujours est-il, que leurs propos à notre endroit sont si insultants, et parfois, si blessants, que même l’épaisseur de la carapace de notre dos, qu’on a pourtant très large, se met à fendiller sous le poids de tant de mesquinerie.
Dire qu’ils insinuent, entre autre, la façon dont on traite « nos vieux » ici! Auraient-ils donc déjà oublié que certains de leurs compatriotes, en août 2003, lors des terribles canicules en France, pour ne pas avoir à payer les funérailles, ne réclamaient même pas les corps de leurs vieux parents décédés des suites de l'intense chaleur ? Cet épisode n’a rien de reluisant, faut-il, hélas! en convenir.
Comme si ce n’était pas assez de se faire dire, qu’on est « petits dans notre tête » par la filière française en terre d'Amérique, les médias qui nous mettent aujourd’hui sur cette piste sont-ils conscients, qu’ils ne font que dévier les projecteurs des uns vers les autres ? Et que cela fait leur affaire ? Allons-nous tenir responsables ces médias d’attiser les bas instincts, des gens d’ici ? En tout cas, on ne manquera pas de constater, toutefois, que pour ceux d’allégeance fédéraliste, il y a lieu d’y voir une nette intention de joindre l’utile à l’agréable.
D’abord, qu’on y traite, dans l’un de ces blogs, les adéquistes de « ploucs », par exemple, doit certes faire sourire plusieurs libéraux. Puis, ce dont on aura peut-être sciemment négligé, c’est qu’on semble prendre un malin plaisir à voir déchiqueter ainsi les Québécois sur la place publique. D'autant plus que cela commence curieusement par les ... indépendantistes.
Voilà qu’il n’y a rien là, pour apaiser les bibittes noires (racisme, etc), voire atténuer la haine qui risque d’apparaître, dans les jours à venir, à l’égard de nos soit-disant cousins, les Français. Y sont pas sortis du bois, les pauvres !
Enfin. À moins, qu’un certain Foglia ne vienne à notre rescousse pour y défendre Gilles Duceppe et son vélo, soit, mais surtout, ne serait-ce que pour nous rappeler, qu’au fond, il fait du bien d’entendre, à notre endroit, un autre son de cloche que celui de tous les autres immigrants frustrés et malheureux, eux aussi.
Amèrement déçus, les Français seraient-ils donc trop blasés et trop raffinés de nature pour s’adapter à notre mode de vie frustre nord-américain ? Et bien sûr, trop articulés pour s’habituer à notre langue profondément enracinée dans le terroir, pour ne pas dire comme eux, étant ni plus ni moins qu'une sorte de dialecte (créole … ?) d’arriérés et de colonisés ?
N’oublions pas, que la France, sans jamais avoir été un véritable empire, a tout de même un lourd passé de colonisateur. Pour s’en convaincre (et nous convaincre aussi), « Le Québec c’est peut être bien pour les pays sous développés, mais pas pour les Européens. », disent-ils tout haut, entre eux et pour eux. Comme si nous étions (y compris nos Néo-Québécois de souche ...!) un peuple indigne d’accueillir des gens aussi fiers de leur supériorité intellectuelle, culturelle et historique.
Toujours est-il, que leurs propos à notre endroit sont si insultants, et parfois, si blessants, que même l’épaisseur de la carapace de notre dos, qu’on a pourtant très large, se met à fendiller sous le poids de tant de mesquinerie.
Dire qu’ils insinuent, entre autre, la façon dont on traite « nos vieux » ici! Auraient-ils donc déjà oublié que certains de leurs compatriotes, en août 2003, lors des terribles canicules en France, pour ne pas avoir à payer les funérailles, ne réclamaient même pas les corps de leurs vieux parents décédés des suites de l'intense chaleur ? Cet épisode n’a rien de reluisant, faut-il, hélas! en convenir.
Comme si ce n’était pas assez de se faire dire, qu’on est « petits dans notre tête » par la filière française en terre d'Amérique, les médias qui nous mettent aujourd’hui sur cette piste sont-ils conscients, qu’ils ne font que dévier les projecteurs des uns vers les autres ? Et que cela fait leur affaire ? Allons-nous tenir responsables ces médias d’attiser les bas instincts, des gens d’ici ? En tout cas, on ne manquera pas de constater, toutefois, que pour ceux d’allégeance fédéraliste, il y a lieu d’y voir une nette intention de joindre l’utile à l’agréable.
D’abord, qu’on y traite, dans l’un de ces blogs, les adéquistes de « ploucs », par exemple, doit certes faire sourire plusieurs libéraux. Puis, ce dont on aura peut-être sciemment négligé, c’est qu’on semble prendre un malin plaisir à voir déchiqueter ainsi les Québécois sur la place publique. D'autant plus que cela commence curieusement par les ... indépendantistes.
Voilà qu’il n’y a rien là, pour apaiser les bibittes noires (racisme, etc), voire atténuer la haine qui risque d’apparaître, dans les jours à venir, à l’égard de nos soit-disant cousins, les Français. Y sont pas sortis du bois, les pauvres !
Enfin. À moins, qu’un certain Foglia ne vienne à notre rescousse pour y défendre Gilles Duceppe et son vélo, soit, mais surtout, ne serait-ce que pour nous rappeler, qu’au fond, il fait du bien d’entendre, à notre endroit, un autre son de cloche que celui de tous les autres immigrants frustrés et malheureux, eux aussi.
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