L'Oiseau frileux

L'Oiseau frileux

mardi, juin 23, 2015

Une fête nationale sans âme ne peut pas vivre

Ma façon, à moi, de faire de la politique

« On aura beau se tortiller dans tous les sens,
s’agiter sur des musiques tonitruantes,
hurler les paroles de chansons à la mode,
esquisser quelques pas de danse, rien n’y fera.
Si l’âme n’a pas voulu se joindre à la fête,
ça finira par être triste.
Une fête nationale sans âme ne peut pas vivre.
***
Si à la fin de la fête, chaque individu pouvait se sentir grandi,
ne serait-ce que d’un petit centimètre,
chacun et chacune ayant réalisé que le sort de la nation
est dans les mains de chacun d’entre nous,
que nous sommes maîtres de notre destin personnel et collectif,
nous serions en pleine possession de tous nos moyens.
 
La Fête nationale doit servir à nous unir
et à nous faire sentir que nous appartenons
à un tout dont nous portons une partie des responsabilités.
Ce message, qu’il soit véhiculé par la musique,
les chansons ou les danses,
a pour objectif de nous aider à retrouver nos repères,
à faire notre propre bilan et à nous remettre en marche
pour un avenir dont nous savons qu’il nous appartient.»


Merci, madame Payette de m'avoir prêté vos mots pour cette fête nationale 2015.

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