Enfin, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, est intervenu pour venir en aide au Dr. Julien et à sa fondation. Le ministre a promis une aide financière d'urgence et la possibilité d'une subvention récurrente. «On va compléter le financement jusqu'à un million pour que le Dr Julien puisse continuer son oeuvre, a affirmé le ministre Bolduc. On va s'attendre à ce que les autres ministères [Éducation, et Emploi et Solidarité sociale] allongent leur budget et c'est moi qui vais coordonner tout ça.»
Il s'est défendu d'avoir tardé à agir, expliquant qu'il n'a été mis au parfum des difficultés du Dr Julien qu'au début du mois et qu'il n'en a saisi l'urgence qu'en lisant Le Devoir ce matin (hier).
Merci, au Devoir ...!
Il s'est défendu d'avoir tardé à agir, expliquant qu'il n'a été mis au parfum des difficultés du Dr Julien qu'au début du mois et qu'il n'en a saisi l'urgence qu'en lisant Le Devoir ce matin (hier).
Merci, au Devoir ...!
Et quant à vous, messieurs-dames, les ministres, on vous tient à l'oeil!
Enfin, un mot sur l'immoblisme de la machine gouvernementale lorsqu'il s'agit de faire avancer des choses aussi complexes que ... la pauvreté. «Pire, les défavorisés n'ont pas les lobbys requis pour faire le siège de l'appareil gouvernemental et l'amener à bouger.». écrit Josée Boileau, ce matin, dans Le Devoir. Et par conséquent, pire encore plus, ils n'ont évidemment pas les moyens de financer la caisse électorale du parti au pouvoir. Faut donc faire avec la réalité.
Enfin, un mot sur l'immoblisme de la machine gouvernementale lorsqu'il s'agit de faire avancer des choses aussi complexes que ... la pauvreté. «Pire, les défavorisés n'ont pas les lobbys requis pour faire le siège de l'appareil gouvernemental et l'amener à bouger.». écrit Josée Boileau, ce matin, dans Le Devoir. Et par conséquent, pire encore plus, ils n'ont évidemment pas les moyens de financer la caisse électorale du parti au pouvoir. Faut donc faire avec la réalité.
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