Aucun commentaire? Ça c'était avant-hier! Mais aujourd'hui, j'en ai un (commentaire). Comment expliquer que les médecins du Québec soient enfin capables d'aborder le sujet de l'euthanasie en ce moment sans perdre les pédales, et se crispent autant et toujours pour celui de la castration chimique?
Ici, au Québec, on fait semblant d'y songer et on ne cesse de repousser le débat sous le tapis. Mais en France, il en est autrement, comme en fait foi cet extrait.
«Le meurtre d'une joggeuse, retrouvée mercredi soir près de Milly-la-Forêt (Essonne) sur les indications du suspect, a relancé le débat sur la récidive et les moyens de l'éviter, la ministre de la justice, Michèle Alliot-Marie, souhaitant même inscrire la castration chimique pour les délinquants sexuels dans la loi. Le suspect, qui a avoué le meurtre, a en effet été condamné à 11 ans de réclusion criminelle pour la séquestration et le viol d'une mineure en 2002. Il avait bénéficié d'une libération conditionnelle le 5 mars 2007. » Article publié le 01 Octobre 2009 Source : LE MONDE.FR avec AFP et Reuters
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