Le Québec souverainiste gardera-t-il un chien de sa chienne au Français, Nicolas Sarkozy, à la suite des propos qu’il a tenus sur l’avenir du Québec au sein du Canada-Uni, lors de sa visite éclair (lire : en courant d’air …), au Sommet de la Francophonie, à Québec, en fin de semaine dernière?
On dirait bien que si. Mais rappelons que si avec des si on va à Paris, avec des ça, on reste là ... ! Je me suis donc donné un mal de chien pour ne pas répandre de rumeur, à l’effet qu’ici, au Québec, par bonheur! un chien peut encore regarder un évêque. Mais naturellement, si les chiens avaient des scies, il n’y aurait plus de poteaux, et jamais dans cent ans, le chien galeux de Jean Chrétien ne s’y serait frotté. On ne parle déjà plus de celui de Stéphane Dion. Son chien est mort depuis une semaine!
Mais alors, pas besoin d’être un chien savant pour reconnaître celui qui a servi de maître à penser (et aussi à dépenser) au président Sarkozy. C’est pas parce que son chien, à lui, s’enfuit quand on l’appelle, qu’il ne faut pas blâmer Paul Desmarais plus que les autres si, nous, on fourre le chien depuis 1995!
Or, comme un chien dans un jeu de quilles, Nicolas Sarkozy a fait beaucoup jaser en s’imposant comme le contraire de ce qu’on attendait de lui. «Il sort même de son texte sans jamais s'enfarger», croit ma fidèle amie, Jd’A. Ah! vraiment ? Mais au contraire! Justement il aurait fallu qu’il ne sorte pas des sentiers battus par ses prédécesseurs et qu’il se limite à lire les lignes de son texte! Et laisser faire les entre-lignes entre lesquelles, d'abord lui, le Français, puis le Canadien et l’Albertain étaient pourtant tous les trois bien d'accord de tenir pour acquis, qu’un chien qui aboie (à la Lune, en plus), ne mord pas.
Enfin, au Québec, encore, la tradition veut qu’on donne un chien, (et cette fois-ci, ce sera un Labrador), aux présidents français qui se disent nos amis. Dire que certains d'entre eux sont allés jusqu’à nous considérer sincèrement, tantôt comme des frères et soeurs, tantôt comme des cousin(e)s! Or, je n’irai pas jusqu’à dire qu’avec des amis comme ça, on est encore mieux d’avoir des ennemis, mais à voir le président français actuel, nous prendre pour des ploucs, ma foi! en s’affichant nettement plus fédéraliste-que-ça, tu-meurs!, je parie que ses amis du Canada-Uni lui donneront, eux, avant longtemps, rien de moins qu'un de leur plus beau cheval de l'Ouest!
On dirait bien que si. Mais rappelons que si avec des si on va à Paris, avec des ça, on reste là ... ! Je me suis donc donné un mal de chien pour ne pas répandre de rumeur, à l’effet qu’ici, au Québec, par bonheur! un chien peut encore regarder un évêque. Mais naturellement, si les chiens avaient des scies, il n’y aurait plus de poteaux, et jamais dans cent ans, le chien galeux de Jean Chrétien ne s’y serait frotté. On ne parle déjà plus de celui de Stéphane Dion. Son chien est mort depuis une semaine!
Mais alors, pas besoin d’être un chien savant pour reconnaître celui qui a servi de maître à penser (et aussi à dépenser) au président Sarkozy. C’est pas parce que son chien, à lui, s’enfuit quand on l’appelle, qu’il ne faut pas blâmer Paul Desmarais plus que les autres si, nous, on fourre le chien depuis 1995!
Or, comme un chien dans un jeu de quilles, Nicolas Sarkozy a fait beaucoup jaser en s’imposant comme le contraire de ce qu’on attendait de lui. «Il sort même de son texte sans jamais s'enfarger», croit ma fidèle amie, Jd’A. Ah! vraiment ? Mais au contraire! Justement il aurait fallu qu’il ne sorte pas des sentiers battus par ses prédécesseurs et qu’il se limite à lire les lignes de son texte! Et laisser faire les entre-lignes entre lesquelles, d'abord lui, le Français, puis le Canadien et l’Albertain étaient pourtant tous les trois bien d'accord de tenir pour acquis, qu’un chien qui aboie (à la Lune, en plus), ne mord pas.
Enfin, au Québec, encore, la tradition veut qu’on donne un chien, (et cette fois-ci, ce sera un Labrador), aux présidents français qui se disent nos amis. Dire que certains d'entre eux sont allés jusqu’à nous considérer sincèrement, tantôt comme des frères et soeurs, tantôt comme des cousin(e)s! Or, je n’irai pas jusqu’à dire qu’avec des amis comme ça, on est encore mieux d’avoir des ennemis, mais à voir le président français actuel, nous prendre pour des ploucs, ma foi! en s’affichant nettement plus fédéraliste-que-ça, tu-meurs!, je parie que ses amis du Canada-Uni lui donneront, eux, avant longtemps, rien de moins qu'un de leur plus beau cheval de l'Ouest!
Un chapeau et des bottes de cowboy, avec ça?
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