L'Oiseau frileux

L'Oiseau frileux

jeudi, septembre 08, 2011

Mais qui est cet homme qui veut prendre un bain chez Céline Dion ?


Le 07 septembre 2011 à 08h40 , mis à jour le 07 septembre 2011 à 17h31

Un homme a pénétré par effraction dans le manoir de la diva québécoise... puis s'est fait couler un bain, avant d'être interpellé par la police locale.

"Salut ! Qu'est-ce que vous faites ici ?" Descendant tranquillement l'escalier, l'homme a fait face à la police, nullement gêné en apparence. Tout comme s'il était chez lui. Il venait pourtant de pénétrer par effraction dans la vaste demeure de Céline Dion et de son mari René Angélil, située sur l'île Gascon, à Laval, ville voisine de Montréal. Cette scène un tantinet surréaliste se passait lundi en fin d'après-midi : la police venait d'accourir en s'attendant à trouver un cambrioleur en plein forfait, prévenue par le personnel de sécurité de la demeure, après le déclenchement du système d'alarme.
Au lieu de cela, les deux policiers et le maître-chien se sont précipités sur les lieux ont vu une des portes du garage ouvertes... puis un homme qui descendait l'escalier... et ils ont finalement découvert que cet intrus incongru avait commencé à faire couler de l'eau dans la salle de bains. Il n'a toutefois "pas pris de bain", sans doute par manque de temps, a souligné un responsable de la police. 

L'intrus, finalement identifié et âgé de 36 ans, a été arrêté sans offrir de résistance et a comparu mardi devant la justice où il a été inculpé pour méfait, introduction par effraction et vol de la voiture de luxe de René Angélil. L'homme, qui n'a pas d'antécédent judiciaire, a été libéré sous caution et doit se présenter à nouveau au palais de justice de Laval le 21 novembre. La star et son célèbre mari, qui vivent depuis plusieurs années à Las Vegas, aux Etats-Unis, n'étaient pas présents lors de l'incident, a précisé le responsable de la police. 

Source TF1 News

***

Didine, étais-tu au courant de cette affaire? Pour moi, ce devait être un sans-abri souffrant de démence.
May

Aucun commentaire:

Publier un commentaire