Tous les journalistes et éditorialistes (sauf André Pratte de La Presse), tous les politiciens le moindrement honnêtes, de plus en plus de gens ordinaires mais pas tous déconnectés de la réalité, et voilà que même le juge à la retraite John Gomery réclame à son tour une commission d'enquête publique sur les méthodes de financement des partis municipaux montréalais.
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On n’a plus le choix. On a tellement bien tout mêlé, l’éthique dans la politique municipale, celle dans la construction (liée à la précédente et vice versa), la grippe A H1N1 et le vaccin qu’il faut écouler avant l’apparition de la bête, qu’on ne sait où donner de la tête.
Mais, si vous avez suivi avec attention le débat télévisé à la SRC, hier soir, des trois candidats à la mairie de Montréal, il en ressort plusieurs questions posées par M. Georges Paquet, dans Le Devoir d’aujourd’hui, et auxquelles on n’a pas entendu de réponses.
«Pourquoi ne pas creuser un peu plus la question des compteurs d'eau et demander à des conseillers compétents si comme en doute Mme Harel, les contrats ont bel et bien été annulés.
Est-ce que le maire seul peut annuler des contrats accordés par le conseil municipal?
Le maire seul peut-il engager la ville à payer les frais et dommages d'une telle annulation?
Pourquoi ne pas examiner l'information fournie par M. Bergeron sur les sommes qu'aurait recueillies la formation de M. Tremblay à l'occasion d'une seule activité publique ?
Pourquoi ne pas vérifier si, comme le soutient Mme Harel, la formation du maire Tremblay qui continue de recevoir $7,000 par mois en dons anonymes?»
Et maintenant, la question qui tue posée pour la millième fois, par autant de personnes comme moi : Qu’a donc à cacher le premier ministre Jean Charest qui semble chercher à (nous) et à (se) satisfaire de simples amendements aux lois existantes? «Le problème est trop systémique, ça ne serait qu'un band-aid», a dit le juge aujourd’hui en conférence de presse.
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On n’a plus le choix. On a tellement bien tout mêlé, l’éthique dans la politique municipale, celle dans la construction (liée à la précédente et vice versa), la grippe A H1N1 et le vaccin qu’il faut écouler avant l’apparition de la bête, qu’on ne sait où donner de la tête.
Mais, si vous avez suivi avec attention le débat télévisé à la SRC, hier soir, des trois candidats à la mairie de Montréal, il en ressort plusieurs questions posées par M. Georges Paquet, dans Le Devoir d’aujourd’hui, et auxquelles on n’a pas entendu de réponses.
«Pourquoi ne pas creuser un peu plus la question des compteurs d'eau et demander à des conseillers compétents si comme en doute Mme Harel, les contrats ont bel et bien été annulés.
Est-ce que le maire seul peut annuler des contrats accordés par le conseil municipal?
Le maire seul peut-il engager la ville à payer les frais et dommages d'une telle annulation?
Pourquoi ne pas examiner l'information fournie par M. Bergeron sur les sommes qu'aurait recueillies la formation de M. Tremblay à l'occasion d'une seule activité publique ?
Pourquoi ne pas vérifier si, comme le soutient Mme Harel, la formation du maire Tremblay qui continue de recevoir $7,000 par mois en dons anonymes?»
Et maintenant, la question qui tue posée pour la millième fois, par autant de personnes comme moi : Qu’a donc à cacher le premier ministre Jean Charest qui semble chercher à (nous) et à (se) satisfaire de simples amendements aux lois existantes? «Le problème est trop systémique, ça ne serait qu'un band-aid», a dit le juge aujourd’hui en conférence de presse.
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