Que nos sous-sols soient éventuellement inondés par la fonte des glaciers de l’Arctique, ne semble pas inquiéter outre mesure le chef du gouvernement canadien actuel. À Bali ou ailleurs, notre homme souffle le chaud et le froid. Au diable, le reste du monde! À le voir s'emplir les poches de marrons brûlés, on n’a pas d’autre choix de croire que le sort de la planète n’est vraiment pas de son ressort.
Ça tombe bien, car il a des choses bien plus urgentes à faire : comme d’acheter avec ses pétrodollars, les électeurs plus empressés de garnir leur porte-feuille, que soucieux des colères de la Terre. Mais, me direz-vous? Il y a pire ailleurs.
Ça tombe bien, car il a des choses bien plus urgentes à faire : comme d’acheter avec ses pétrodollars, les électeurs plus empressés de garnir leur porte-feuille, que soucieux des colères de la Terre. Mais, me direz-vous? Il y a pire ailleurs.
Si vous pensez à Vladimir Poutine, oui, je sais : c’est bien plus qu’une patate avec fromage et sauce par-dessus, ça … !
À suivre.
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