L'Oiseau frileux

L'Oiseau frileux

mardi, août 28, 2007

Le nez qui pique

Hier, au moment précis où je n’arrêtais pas de me gratter furieusement le nez qui me piquait, Lora, dans sa grande sagesse laissa tomber naturellement: « Un fou est mort ! Ben quoi? C’est ainsi qu’on disait toujours quand le nez nous piquait … !», me dit-elle, en guise d’explication. Puis, d’un geste insouciant, j’ai aussitôt repoussé l’émergence de pensées négatives qui s’apprêtaient à me déstabiliser le moral.

Or, ce matin, alors que la circulation semblait beaucoup plus dense que d’habitude, j’ai, bien sûr, tout de suite pensé que si la 640 débordait ainsi devant chez-moi, cela devait être parce qu’il y avait encore eu un accident sur cette autoroute fort achalandée aux heures de pointe.

Eh bien! oui et non!

Un autre fou de Dieu


P.S. C'est qu'à Bois-des-Filion,
il n'y a pas que des voitures
pare-chocs à pare-chocs ...

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