Parfois, il nous arrive d'être si envoûté par la nature qui nous entoure, qu'il suffit d'un moment d'inattention pour prendre des ours ou (des ... mouffettes) pour des chats et vice versa aussi. Paraît-il que cela serait arrivé à nos amies É et B, dernièrement.
Tandis qu'ici, dans ma cuisine, pendant que j’essaie tranquillement de me débarrasser de celui que j’ai dans la gorge … voilà que depuis maintenant une semaine que cela dure, j’ai des fourmis dans les jambes.
Oh! pas des charpentières qui me grugent les os, ni des ouvrières qui y construisent des châteaux-forts, ni des termites et ni des jurassiques, mais de petites fourmis d’à peine un centimètre, un point, c’est tout.
Inutile de dire qu’elles m’énervent au plus haut point …! Pas bêtes, loin de là, j’ai même observé qu’elles avaient eu le culot de contourner les pièges à fourmis que j’avais installés sur le rebord de ma fenêtre, et sur mon comptoir de cuisine, en fin de semaine dernière. Une grimace, avec ça?
Ma patience a assez duré. Ce matin, c’est la guerre. Après quelques clics sur Internet, voilà que j’ai vite trouvé certaines armes non bactériologiques, non toxiques, pas, non plus, de recettes pour fabriquer de bombes dévastatrices, mais de simples moyens écologiques pour me débarrasser de cette infestation infernale.
Tout en espérant, toutefois, qu’elles seront de
destruction massive … Alors, voici:
. un petit contenant rempli d'eau de Javel
. une tranchée en papier d’aluminium miné de marc de café
. puis des barbelés de poivre de Cayenne
Pour l’instant, cela suffira-t-il? On verra. Sinon, j’ai d’autres armes dans ma poche, notamment des rondelles de citron, des lignes de poudre de talc, de poudre d'os, de poussière de charbon, sans oublier de la sauge verte et du camphre. Je pourrais aussi essayer des boules à mites, si besoin se faisait sentir.
Avez-vous d’autres idées?
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