Quand j’ai appris, il y a 18 mois, qu’un nombre considérable de jeunes Québécois appuyaient André Boisclair, et s’activaient comme des diables dans l’eau bénite à le faire élire à la tête du PQ, j’avais été très impressionnée.
Enfin, m’étais-je dit, voilà un geste qui faisait mentir la rumeur qui courait depuis longtemps à son sujet, à savoir, que la jeunesse d’aujourd’hui n’avait, pour ainsi dire, aucun intérêt pour la politique.
Maintenant que le cheval, sur lequel ils avaient misé cinq dollars, est tombé au champ de bataille, (pas d’honneur, hélas!) on est en droit aujourd’hui, de se demander où ils étaient TOUS, le 26 mars dernier, alors qu’ils auraient dû être là pour voter pour celui qu’ils avaient choisi 18 mois plus tôt?
Auraient-ils perdu confiance en leur cheval en cours de piste…? Faut croire que oui. Alors, de deux choses l’une : regrettant leur erreur, ou bien, ils n’ont pas voté, ou bien, ils se sont jetés éperdument comme une volée de girouettes dans les bras de Mario Bros.
Allez donc freiner, une rumeur qui court!
Enfin, m’étais-je dit, voilà un geste qui faisait mentir la rumeur qui courait depuis longtemps à son sujet, à savoir, que la jeunesse d’aujourd’hui n’avait, pour ainsi dire, aucun intérêt pour la politique.
Maintenant que le cheval, sur lequel ils avaient misé cinq dollars, est tombé au champ de bataille, (pas d’honneur, hélas!) on est en droit aujourd’hui, de se demander où ils étaient TOUS, le 26 mars dernier, alors qu’ils auraient dû être là pour voter pour celui qu’ils avaient choisi 18 mois plus tôt?
Auraient-ils perdu confiance en leur cheval en cours de piste…? Faut croire que oui. Alors, de deux choses l’une : regrettant leur erreur, ou bien, ils n’ont pas voté, ou bien, ils se sont jetés éperdument comme une volée de girouettes dans les bras de Mario Bros.
Allez donc freiner, une rumeur qui court!
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