
Il y a donc toujours une personne sur cinq qui n'est pas à l'aise avec cette réalité; 14 % des gens qui croient que c'est un désordre mental; 13 % qui estiment que c'est une maladie; et 12 % qui pensent que l'homophobie est une maladie reliée à l'orientation sexuelle... Bien que ce soit encore le cas dans certains pays, l'Iran, pour ne nommer que celui-là, Dieu, merci, ici on ne parle plus de ceux qui faisaient de nous des criminels!
Le président de la Fondation Émergence, Laurent McCutcheon ne s’étonne pas de ces chiffres. «Nous sommes passés de l'intolérance à la tolérance. Il reste maintenant à aller vers l'acceptation. C'est la prochaine grande étape. Personne ne veut être seulement "toléré". On veut être aimé et apprécié.»
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