Hier, j’ai eu une journée d’enfer. D’abord, dans la matinée, c’était mon cours de bras et de jambes en l’air, puis, en début d’après-midi, l’heure de «mettre mon antivirus à jour» était venue. Enfin, comme cela n’était pas assez, prise par une urgence soudaine de marcher «derrière ma balle», je me suis dépêchée de me rendre au grand Versant, le petit Griffon fermait cette journée-là. Il était passé 14h …!
Quelle folle allez-vous faire de moi? Je m’en fous! Je n’étais pas la seule ... ! Mais laissez-moi vous dire que j’ai toutefois eu une petite pensée pour chacune d’entre vous. Vous, mes partenaires de golf habituelles qui, assises derrière votre volant ou votre ordinateur, deviez bâiller d’ennui en égrenant les heures, puis les minutes, puis les secondes.
Ce n’est pas la terre un peu gelée, ni la difficulté à planter un té sur les départs, ni la couche de glace sur les étangs figés, ni la tuque sur le faîte de la tête, ni les gants, ni les vêtements en pelures plutôt qu’en lourdeur, qui m’empêcheront de rouler ma bosse, ou si vous préférez, pousser mon chariot sur un parcours de golf, à cette saison-ci!
Le bonheur …!
J’ai d’abord pensé à Caro, qui n’aurait peut-être pas apprécié les nombreux cacas des bernaches, mais cette photo lui rappellera certes de bons souvenirs.
Sunny Blue sera sans doute surprise d’apprendre que je me suis (enfin …!!!) réconciliée avec mon vieux Bois 1 (driver). et que s’il continue à me donner autant de satisfaction, il retrouvera sa place d’honneur dans mon sac.
Jo, elle, aurait été ébahie de voir ma balle (sans pneus à glace …) rebondir sur un étang et s’échoir miraculeusement dans l’herbe en avant du vert, au 6è trou.
Finalement, Lora, qui m’a manquée et à qui j’ai oublié de raconter, hier soir, ce fait d’hiver. Toujours au 6è trou, en effet, il m’est arrivé une chose invraisemblable. Pendant plusieurs minutes, j’ai tenu une conversation en félinois avec un adorable chat noir et blanc étendu sur la glace, au beau milieu de l’étang. Pas de chance! Je n'avais pas ma caméra.
Quelle folle allez-vous faire de moi? Je m’en fous! Je n’étais pas la seule ... ! Mais laissez-moi vous dire que j’ai toutefois eu une petite pensée pour chacune d’entre vous. Vous, mes partenaires de golf habituelles qui, assises derrière votre volant ou votre ordinateur, deviez bâiller d’ennui en égrenant les heures, puis les minutes, puis les secondes.
Ce n’est pas la terre un peu gelée, ni la difficulté à planter un té sur les départs, ni la couche de glace sur les étangs figés, ni la tuque sur le faîte de la tête, ni les gants, ni les vêtements en pelures plutôt qu’en lourdeur, qui m’empêcheront de rouler ma bosse, ou si vous préférez, pousser mon chariot sur un parcours de golf, à cette saison-ci!
Le bonheur …!J’ai d’abord pensé à Caro, qui n’aurait peut-être pas apprécié les nombreux cacas des bernaches, mais cette photo lui rappellera certes de bons souvenirs.
Sunny Blue sera sans doute surprise d’apprendre que je me suis (enfin …!!!) réconciliée avec mon vieux Bois 1 (driver). et que s’il continue à me donner autant de satisfaction, il retrouvera sa place d’honneur dans mon sac.Jo, elle, aurait été ébahie de voir ma balle (sans pneus à glace …) rebondir sur un étang et s’échoir miraculeusement dans l’herbe en avant du vert, au 6è trou.
Finalement, Lora, qui m’a manquée et à qui j’ai oublié de raconter, hier soir, ce fait d’hiver. Toujours au 6è trou, en effet, il m’est arrivé une chose invraisemblable. Pendant plusieurs minutes, j’ai tenu une conversation en félinois avec un adorable chat noir et blanc étendu sur la glace, au beau milieu de l’étang. Pas de chance! Je n'avais pas ma caméra.
P.S. Félinois: langage des chats
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