Depuis, on a constaté divers actes homophobes, dont l’un s’est avéré particulièrement violent à l’endroit d’un jeune homme de 24 ans, qui a été sauvagement battu, à la sortie du bar Le Drague, le 30 juin dernier.
Or, pour contrer cette réalité, des associations homosexuelles et des groupes communautaires de Québec ont lancé hier un appel à la tolérance zéro et invité la population à un rassemblement sur les lieux de l'agression.
Mais ce qui étonne le plus, c’est qu’en milieu de haut savoir, là où l’on se croirait à l’abri de tels comportements haineux, voire même de telles vues de l’esprit aussi étroites, on apprend qu’à l’université Laval ...!, l’homophobie se manifeste de grossière façon en y arrachant systématiquement les affiches du mouvement homosexuel (GGUL).
À tel point qu'en avril dernier, le GGUL a imprimé une nouvelle affiche baptisée «L'affiche que tout le monde arrache» sur laquelle on pouvait lire: «Affiches arrachées, murale vandalisée, messages haineux, homophobie. Voilà ce dont est victime le Groupe gai de l'Université Laval... parce qu'il a toujours sa raison d'être ».
Qui a dit que l’homophobie était en baisse à (au) Québec ?
À tel point qu'en avril dernier, le GGUL a imprimé une nouvelle affiche baptisée «L'affiche que tout le monde arrache» sur laquelle on pouvait lire: «Affiches arrachées, murale vandalisée, messages haineux, homophobie. Voilà ce dont est victime le Groupe gai de l'Université Laval... parce qu'il a toujours sa raison d'être ».
Qui a dit que l’homophobie était en baisse à (au) Québec ?
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